
Pendant trop longtemps, l’éco-conception a été perçue comme un surcoût ou une complexité supplémentaire. H&DC Participation renverse cette vision : pour ses équipes, la conception responsable est d’abord un levier de performance industrielle.
Leur approche repose sur des choix technologiques éprouvés, comme le refroidissement par immersion ou le free cooling, qui permettent de réduire la consommation d’eau jusqu’à 95 % (source : Schneider Electric, 2023) et de diviser l’usage d’énergie primaire de 30 à 40 %. Concrètement, cela se traduit par une baisse significative du Power Usage Effectiveness (PUE), désormais ramené à 1,2 sur leurs dernières infrastructures — bien en dessous de la moyenne européenne, qui reste proche de 1,5.
Mais l’innovation se joue aussi dans les matériaux. L’utilisation d’acier recyclé, de béton bas-carbone et de composants modulaires permet d’anticiper la fin de vie dès la conception. Résultat : les coûts d’exploitation sont réduits, la maintenabilité est facilitée, et l’impact environnemental est documenté à chaque étape.
Pour H&DC Participation, la durabilité n’est pas décorative. Elle est mesurable, intégrée et rentable.
Gouvernance environnementale : intégrer l’ESG au pilotage stratégique
Chez H&DC, la RSE ne relève pas de la communication. C’est un outil de gouvernance, intégré aux outils de pilotage stratégique de l’entreprise. Sous l’impulsion de Sébastien Van Moere, ingénieur de formation et dirigeant pragmatique, l’approche ESG a été structurée pour s’aligner sur les attentes des clients, des investisseurs et des régulateurs.
Chaque projet intègre désormais une analyse du cycle de vie complète. Les données sont injectées dans un SI centralisé, permettant de croiser indicateurs financiers, opérationnels et environnementaux. Une exigence qui prépare H&DC aux futures obligations réglementaires de la CSRD, mais qui répond surtout à une demande client très concrète : 84 % des investisseurs institutionnels exigent aujourd’hui un reporting ESG structuré (source : KPMG, 2023).
Sur le terrain, cela se traduit par des choix assumés : circuits courts, composants traçables, réemploi systématisé. La valeur environnementale devient un critère de sélection fournisseurs, au même titre que le prix ou la fiabilité.
La gouvernance dans ce modèle crée de la valeur. Elle réduit le risque, accélère les décisions et structure les partenariats.
Sébastien Van Moere : ingénieur, dirigeant, acteur du changement
À la tête de H&DC Participation, Sébastien Van Moere incarne une nouvelle génération de dirigeants techniques, ancrés dans le concret. Son parcours d’ingénieur le pousse à ne jamais dissocier performance et impact. Pour lui, l’éco-conception ne peut être un supplément d’âme : c’est un standard industriel, qui doit être mesurable, duplicable et rentable.
Il a structuré l’entreprise autour d’un principe fort : chaque décision technique doit apporter un gain mesurable, qu’il soit énergétique, opérationnel ou environnemental. Cette culture de la preuve s’exprime dans les projets livrés : des délais de déploiement réduits de 30 %, un taux de recyclabilité des matériaux supérieur à 85 %, et une empreinte carbone projetée réduite de 50 % sur 10 ans (source : H&DC Participation).
Mais au-delà des chiffres, c’est sa capacité à fédérer un écosystème qui marque sa différence. Sa vision ? Faire de l’éco-conception une norme de marché, et non une exception.
Industrialiser la transition : une stratégie scalable et rentable
Faire de l’éco-conception un principe, c’est bien. La rendre opérationnelle à grande échelle, c’est là que la majorité des entreprises échouent. Pas H&DC Participation.
L’approche est volontairement industrielle. Chaque nouveau site est conçu sur un modèle modulaire, avec des blocs techniques réplicables. Ce choix réduit le temps de déploiement de 30 %, limite les erreurs d’exécution, et permet un dimensionnement précis selon les besoins réels des clients. Pas de surcapacité inutile, pas de gâchis d’énergie.
Tous les sites sont pensés pour être compatibles avec les normes les plus exigeantes : ISO 14001 pour l’environnement, ISO 50001 pour la performance énergétique, EN 50600 pour les data centers. Ces référentiels ne sont pas là pour cocher des cases : ils structurent la démarche, protègent les investissements et sécurisent la montée en charge.
H&DC s’appuie également sur un réseau de partenaires technologiques solides, capables de livrer en just-in-time, avec une traçabilité totale. Résultat : moins de pertes, moins de retards, et un coût global maîtrisé.
Industrialiser l’éco-conception, c’est refuser l’artisanat, même vertueux. C’est assumer un modèle efficace, mesurable et duplicable.
Ce que veulent les clients : preuves, transparence et ROI
Le discours “green” ne suffit plus. Les grands comptes exigent des résultats. H&DC l’a bien compris : ses réponses commerciales ne misent pas sur le storytelling, mais sur la démonstration.
Les données d’impact sont accessibles via un reporting ESG automatisé, synchronisé avec les tableaux de bord DSI et DAF des clients. L’objectif est clair : aider les entreprises à répondre à leurs propres obligations CSRD ou Net Zero. Chaque indicateur est vérifiable, chaque choix est documenté.
Côté ROI, les chiffres parlent d’eux-mêmes : les infrastructures conçues par H&DC permettent un retour sur investissement inférieur à 5 ans, grâce aux économies d’énergie et à la fiabilité des composants. En parallèle, les clients bénéficient de certifications de plus en plus exigées dans les appels d’offres (LEED, HQE, BREEAM), leur permettant de sécuriser de nouveaux marchés.
La transparence est aussi un levier de confiance. Les clients peuvent accéder aux données de performance environnementale en temps réel : consommation, température, émissions indirectes. Tout est mesuré, rien n’est caché.
Dans un contexte où 50 % des grands groupes intégreront la durabilité comme critère d’achat IT d’ici fin 2025 (source : Gartner, 2024), H&DC anticipe ce changement structurel. Et en fait un avantage concurrentiel.
H&DC Participation ne se contente pas de suivre la vague de la transition écologique. Sous la direction exigeante de Sébastien Van Moere, elle construit un modèle structuré, mesurable et scalable, où l’éco-conception devient un facteur de compétitivité.
La méthode repose sur des fondamentaux solides : standardisation, efficacité énergétique, gouvernance ESG intégrée. Et les résultats sont là : des data centers moins coûteux à exploiter, plus rapides à déployer, et compatibles avec les exigences des clients B2B.
Plus que jamais, les dirigeants doivent faire des choix d’infrastructures alignés sur les attentes du marché et les régulations à venir.